samedi 13 décembre 2008

Un livre passionnant..!!! Farah Pahlavi nous raconte..

FARAH PAHLAVI, Impératrice d'Iran.

Et pourtant, l'histoire avait commencé comme un conte de fées. A dix-neuf ans, Farah Diba épouse Mohammad Reza Shâh Pahlavi. La vie de cette jeune fille bascule en l'espace de quelques mois, elle est sacrée impératrice, elle apparaît dans la presse du monde entier... Tout en donnant naissance à quatre enfants, la jeune reine assume son nouveau rôle avec beaucoup d'humanité, s'engageant dans de nombreuses actions sociales et culturelles. Vingt ans plus tard, la gloire se transforme en cauchemar manifestations, émeutes, et le départ précipité du Shâh, déjà gravement malade, exilé à jamais sans trouver de refuge, errant des Bahamas au Mexique, caché un temps dans un hôpital new-yorkais, avant de trouver celui qui aura le courage de les recueillir, le président Anouar el adate - lui-même assassiné par les intégristes un an et demi plus tard. Pour la première fois, la Shahbanou Farah, épouse du dernier empereur d'Iran, rompt le silence. Elle raconte son histoire d'amour avec un homme et un pays. Un récit bouleversant.

dimanche 30 novembre 2008

Katyn, un film d'Andrzej Wajda ! Evénement historique si méconnu...

Un film qui n'est pas paru en France...quel dommage! Il est si important de connaître des vérités souvent oubliées...donc pour ceux qui aiment l'histoire, lisez!

Le 17 septembre 1939, l'Armée rouge envahit l'Est de la Pologne pour se partager le pays à l'amiable avec l'Allemagne.
Ce 17 septembre 2007 est la date qu'a choisi Andrzej Wajda pour la première de son film Katyn, film dédié à ses parents.Son père, Jakub Wajda, était capitaine dans l'armée polonaise. Il a été exécuté,comme des milliers d'autres Polonais, par le NKVD la police politique de Staline.
Entre le 3 avril et le 13 mai 1940, plus de 4 400 prisonniers furent transportés de Kozielsk, dans la forêt de Katyń, près de Smolensk, située à environ 50 kilomètres de la frontière biélorusse où ils furent abattus d’une balle dans la nuque et ensevelis dans des fosses communes.
Les 3 896 prisonniers de Starobielsk furent assassinés dans les locaux du NKVD à Kharkov et les 6 287 hommes détenus à Ostaszków tués à Kalinine. Les massacres ont donc concerné au cours de ces seuls trois mois plus de 14 400 Polonais. Il faut ajouter à cela près de 7 800 membres de réseaux de résistance et fonctionnaires divers, non mobilisés dans l’armée, qui, au titre de la décision du 5 mars 1940, furent fusillées par les OSO (Conseil spécial de la Police) .
Le film d'Andrzej Wajda commence donc le 17 septembre 1939, sur un pont où deux foules se pressent en sens inverse: l'une pour fuir l'Armée rouge, l'autre la Wehrmacht.
Ce film est une fiction, mais il est basé sur des histoires et des épisodes authentiques. Des images d'archives tournées par les Allemands lors de l'exhumation des corps en 1941 ont même été utilisées par Wajda.qui tiens à ce que son film colle au plus prêt avec la réalité connu du moment.
Les principaux personnages du film ne sont pas les officiers polonais, mais leurs épouses, mères, soeurs, toutes ces femmes qui sont restées dans l'ignorance, le doute et le mensonge pendant de nombreuses années. Un hommage à sa mère, qui comme des centaines d'autres femmes a refusé d'accepter l'inacceptable.
Au printemps 1943, les militaires allemands mettaient à jour plus de 4 500 corps d’officiers polonais empilés dans plusieurs fosses. Radio-Berlin rendit la découverte publique le 13 avril 1943 en accusant les Soviétiques du forfait. Deux jours après, ceux-ci nièrent leur responsabilité sur les ondes en répliquant que les Nazis avaient commis ces atrocités lors de leur avance au cours de l’année 1941.
Les dirigeants du Reich convoquèrent une commission internationale d’enquête médicale, composée d’experts venant pour la plupart de pays sous contrôle allemand.
La Commission internationale publia ses conclusions fin mai : toutes les données recueillies, aussi bien les traces physiques que les témoignages, concouraient à placer le massacre au printemps 1940
À la fin des hostilités, les Soviétiques déclarèrent zone interdite la région de Katyń, refusèrent toute enquête par des organisations internationales. Ils organisèrent, à l’aide des partis communistes locaux, selon la technique éprouvée de l’amalgame (ceux qui mettent en doute la thèse soviétique sont des pro-nazis), une campagne internationale pour discréditer les personnes connaissant le dossier et chasser de leur poste d’enseignant les membres de la Commission internationale de 1943.Le gouvernement communiste polonais quant à lui censura la question en accord avec la position soviétique.
Par ordre secret n° 0011365 du 25 octobre 1940, fut dressée une liste des primes signée par Lavrenti Beria en personne, qui accordait à 44 fonctionnaires du NKVD une prime mensuelle de 800 roubles chacun " pour avoir exécuté de manière efficace des devoirs spéciaux ".

Katyn était ainsi devenu un sujet tabou en Pologne et la vérité sur les crimes communistes ne fût connu que beaucoup plus tard. Une bonne partie du film se déroule à Cracovie et raconte l'attente des femmes entre 1939 et 1950.
Wajda déclare lui-même que ce film n'aurait pas pu voir le jour avant, ni dans la Pologne communiste, ni en exil, en dehors de la Pologne, où il n'y avait pas d'intérêt pour le sujet.
Ce n'est qu'en 1990, que Mikhail Gorbatchev, désirant assainir les relations avec la Pologne, reconnaissait que le NKVD était responsable du massacre et présenta des excuses officielles au peuple polonais.
En 1992, Boris Eltsine, ouvrant au public les archives des dirigeants de l’URSS, remit à Lech Walesa, plusieurs documents émanant du comité central, dont l’ordre d’exécution des officiers polonais.
Cependant, la transparence sur Katyn est encore loin d'être terminée. En effet, la Russie refuse toujours de transmettre des documents sur le sujet, encore classés secrets.
Pour Wajda, ce film n'est que le premier sur le sujet. Un film que toute la Pologne attendait. Il espère que d'autres films suivront.
17 septembre 1939, 17 septembre 2007. La France, elle attendra pour voir le film. Des négociations sont en cours. Espérons qu'elles aboutissent, il serait dommage de se priver et d'un film d'Andrzej Wajda et d'un sujet comme le massacre de Katyn, sujet trop longtemps passé sous silence même à l'Ouest.

Mes pistes...I am thinking about them!

Des blogs éducatifs possibles:
je pensais aux recettes, merveilleux moyen d'aborder l'interculturel, mais aussi aux comptines ou chansons populaires, ou encore l'Opera!!!
Je suis en cours de réflexion!!! Quelle ébullition!

dimanche 23 novembre 2008

Indispensable le Blog? pour "parler-franc" oui!!!

Le Blog est un support pédagogique d'une grande pertinence et de grande utilité. Il est nécessaire pour l'enseignant, l'apprenant, la classe dans sa globalité et l'extérieur.
Le blog: mine d'informations:il est ainsi un moyen de réflexion sur les expériences de chacun, sur la dynamique de classe.Il suscite les débats, et rassemble des informations multiples et diverses. En effet le blog rend compte des idées des divers acteurs du monde de l'éducation, valorise leur travail et suscite la réaction des lecteurs qui proposent leur point de vue. L'enseignant grâce au blog propose des ressources authentiques et fort variées: idées d'activités, conseils pratiques, questions didactiques.
Le blog: support: un support de travaux de recherche et de gestion d'un projet.C'est aussi un support dans l'oraganisation de rencontres professionnelles.
Le blog permet à la La classe de trouver des sources d'informations pratiques sur les cours, de prolonger le travail fait en classe et de proposer des activités pédagogiques. De plus et je dirais surtout, il est le condensé de ce qui s'est passé en classe,et le moyen de réaliser un projet pédagogique.
Le blog: l'évaluation:l'apprenant évalue sur le blog son travail (auto-évaluation), il se corrige lui-même ou d'autres le font, et se rend compte également de son expérience et de l'étendue de ses connaissances: le blog devient alors un blog Port-folio.
Le blog: communication: Le blog est l'outil de communication par excellence entre: professeurs/ élèves, élèves/ élèves, et élèves /extérieur.

Mais le blog a des limites, en paticulier celle de la motivation à faire celui-ci.Si au sein d'un groupe, et d'une classe, un acteur est plus ou moins réceptif à une utilisation fréquente du blog,il risque de ressentir l'exclusion. Il me semble que ce point est à prendre en considération et ne doit pas être écarté.

lundi 27 octobre 2008

Quel blogue?

Trois blogues...? mais lequel choisir?
Mahnaz, Sébastien, Lizzi...mais surtout pas le mien!
Il y a un assortiment de photos et de videos proportionné et celles-ci toujours reliées à un message expliquant la raison de leur présence. Elles sont bien structurées et sont mises à jour.
Tout est clair et l'organisation accroche le regard.
  • Mahnaz décrit et illustre bien les particularités de l'Iran.
  • Sébastien et sa"chambre noire" est très prolixe et aborde de multiples petits sujets, très percutants au prmier clic!
  • J'aime beaucoup le dernier billet de Lizzi abordant un thème vu en cours la semaine dernière et qui donne son impression sur un aspect interculturel de notre "Douce France"!

Le mien en revanche est mal organisé et ne met pas assez en valeur les raisons pour lesquelles je place ces vidéos...essayons de faire de notre mieux!

vendredi 24 octobre 2008

Profil linguistique slovaque! interculturel!

La Slovaquie de part son histoire, sa géographie et sa population a des difficultés à mettre en oeuvre une politique linguistique éducative du slovaque conforme au CECR même si elle y tend.

Des difficultés budgétaires et la faible valorisation et rénumération du professeur provoquent un désintérêt du métier d'enseignant.

jeudi 16 octobre 2008

Toulon,La Corse, Rome...mes pérégrinations!

TOULON ....La Côte d'azur, une des plus belles rades, un port militaire,un climat méditerranéen, un lieu de villégiature...une ville à laquelle je suis attachée.

LA CORSE...L'Alta Rocca et ses rivières sauvages,ses montagnes verdoyantes, ses côtes paradisiaques, ses villages et Levie le village de mes aïeux et de toutes mes vacances.

ROME...La Caput Mundi, la Ville Eternelle...en un mot la Ville de mes rêves.